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ANNEXE 3 : LA CRIMINALITÉ À YEONGJU

go minjoon
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go minjoon
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la criminalité à yeongju


sous titre
o1. histoire de la criminalité

Tout a commencé à la fin de la guerre de Corée en 1953. Dans un contexte d’extrême pauvreté dans tous les pays asiatiques et d’un besoin de reconstruction de la Corée du sud après la guerre, le pays séparé en deux a accueilli de nombreux réfugiés qui cherchaient à fuir les conditions de leur propre pays, eux-mêmes ajoutés aux réfugiés japonais qui étaient déjà sur les terres depuis la seconde guerre mondiale.

C’est dans ce contexte que Yeongju s’est remplie d’une population qui cherchait des prix abordables loin d’une capitale détruite par la guerre. Proche de la frontière nord-coréenne, Yeongju était à l’époque une ville anéantie et pauvre.
Trop éloignée de la capitale pour être une priorité de reconstruction, les habitants ont souffert de famine jusqu’à la fin des années 60.
Le pays étant secoué par des révolutions entraînant la démission de leur président, puis par un coup d'État, la violence secouait le pays dans son entièreté.
Dans ce climat d’extrême pauvreté, de grand taux de chômage et de violence, les habitants de Yeongju ont trouvé leur moyen de gagner de l’argent : les activités illégales. La vente d’armes, de drogues, la création de ces dites drogues représentaient des activités tout autant accessibles aux sud-coréens qu’aux étrangers.

Yeongju a commencé son expansion et sa reconstruction au début des années 80, après l’enchaînement de dictateurs à la tête de la Corée du sud et des révolutions pour mettre fin à cette ère de corruption et de dictature.
C’est plus spécifiquement avec l’arrivée de Kaesan sur les terres de Yeongju que l’économie de la ville s’est relancée, créant de nombreux nouveaux emplois. La volonté de donner un tout nouveau visage à la ville et diminuer son grand taux de criminalité amène à la construction de la Yeongju International University au début des années 90.
Si l’université a effectivement permis un tout nouveau rayonnement, national au début puis international avec l’arrivée de la Hallyu Wave, la criminalité a tout sauf disparu.
Bien trop ancré dans les racines de la ville, le taux de criminalité continue encore aujourd’hui à être bien supérieur à ses voisines sud-coréennes.
Différents maires ont enchaîné les mandats avec toujours la même promesse :  arracher la ville des griffes des gangs qui y ont établi territoire. Mais encore aujourd’hui, les nombreux faits divers ayant lieu à Yeongju montrent que rien n’a marché…

De nos jours, la criminalité est une variable de la vie de tous les habitants de la ville, qui en sont fatigués mais ne la craignent pas. L’habitude a remplacé la peur. Il existe d’ailleurs une forme de paix entre les riverains et les gangs, car jusqu’à là, les gangs n’ont jamais attaqué de civils. La question que personne n’ose formuler à haute voix est : jusqu’à quand ?

o2. rapport avec la police

À l’époque actuelle, peu de gens croient encore que la police a un pouvoir sur les gangs. Seuls les plus conservateurs pensent qu’il faut augmenter le nombre de policiers pour instaurer la paix à Yeongju ; les plus jeunes savent que c’est bien plus compliqué que ça.
Et pour cause, la police n’est pas un groupe homogène.
De nombreux officiers ont des objectifs et attitudes différents, entraînent une division en trois groupes :


les agents corrompus : divisé de manière égale entre des jeunes qui ont rejoint le rang de la police pour avoir accès aux gangs sans être leur victime et des agents plus âgés qui ont abandonné la cause, les agents corrompus sont ceux qui protègent les gangs en échange de services illégaux. Ceux qui sont aujourd’hui corrompus ne l’ont pas toujours été ; certains faisaient même partis des officiers motivés à lutter contre les gangs, autrefois.

les agents motivés à diminuer le taux de criminalité : principalement composé de jeunes officiers, ces policiers ont réellement envie de faire bouger les choses. Activement engagés dans la cause, ils sont pourtant impuissants, car ils ne sont pas aidés par leurs supérieurs, qui ont soit abandonné la cause, soit rejoint les rangs des corrompus.

les agents qui ont perdu espoir : majoritairement composé d’agents âgés, ceux-ci n’ont pas cédé à la corruption, mais ne veulent plus s’épuiser pour rien. Globalement très passifs, ils laissent les choses se faire sans essayer de les arrêter, et encouragent leurs collègues à ne plus gaspiller d’énergie. Pour eux, la criminalité est une fatalité à laquelle la ville n’échappera jamais – autant apprendre à vivre en harmonie avec eux.

Malgré cette complexité qui permet aux gangs de régner sur la ville sans trop de crainte, il est important de préciser qu’il arrive tout de même que des délinquants ou criminels soient arrêtés et jugés, mais ils encourent souvent des peines bien plus légères que ce que la loi prévoit pour eux.


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