Salle de box illégale Vieux garage aménagé en salle de box délabrée. Ici, les combats de boxe illégaux sont monnaie courante, tout comme les paris, qui sont tout aussi illicites. Beaucoup de participants font ça pour l'argent, d'autres pour le simple plaisir du combat - les parieurs, eux, sont souvent des addicts qui n'ont plus accès aux casinos à cause de leurs dettes. Mais il y a toujours des personnes un peu plus aisées qui viennent ici, admirer le spectacle misérable de ceux qui se battent, littéralement, pour gagner leur vie. Il s'agit là de l'antre des Boksu.

Vieux bar Devanture décrépie, odeur d'humidité, vieilles chaises presque cassées, café de mauvaise qualité, tasses salles, alcool amer. Personne ne vient ici par hasard. Les clients sont rares, mais les habitués continuent de venir. Clientèle pauvre et misérable, tout comme les patrons du bar, des bagarres plutôt violentes éclatent assez régulièrement quand tout le monde est ivre.

Club de strip-tease Au milieu des ruelles sombres et puantes, le club brille de mille feux. Les guirlandes lumineuses et le contraste avec les autres bâtiments du quartier donnent l'illusion trompeuse d'un lien en bon état. La salle et la scène sont entretenues, tant bien que mal, mais les coulisses sont remplies d'humidité, froides et effrayantes. Personne ne vient ici pour voir les meilleures danseuses du pays ; le club n'a pour ambition que d'exciter les clients, au dépourvu de danseuses qui ont parfois d'autres ambitions.

Salle de dojo La salle est ancienne, mais tout-de-même fonctionnelle, si on fait abstraction de la vieille odeur de transpiration qui émane de tous les murs et de tous les tapis. Un peu lugubre, elle accueille quand même quelques cours de taekwondo, judo ou karaté, et il n'est jamais rare de voir des membres des Boksu squatter les lieux.

maison close Créée et construite par un ancien chef Boksu, cette maison close est sûrement le lieu le mieux entretenu du quartier. Sous couvert de bar de strip tease, la bâtisse renferme en fait un véritable business qui dure depuis des années. Femmes comme hommes travaillent en ces lieux et sont nourris, logés et protégés par les membres du gang tout comme la propriétaire qui les a pris sous son aile.

commissariat Les policiers sont habitués à voir venir et partir des centaines de criminels. Souvent rempli, il manque de place de se retrouve contraint de relâcher certaines personnes ayant commis des crimes moins graves que d’autres, c’est pour cela que la maire a pour projet de le rénover et l’agrandir.